Bonsoir bonsoir ! Je me sens enfin prête à vous livrer le fruit de mes cogitations. Je n’aurais pas pu le faire plus tôt car j’ai récemment vécu – et je vis toujours – des événements désagréables qui viennent, comme
C’est compliqué pour moi, de clôturer cette trilogie d’articles sur les objectifs… Après les deux premiers, qui m’enthousiasmaient, je me suis retrouvée bien plombée. J’ai alors pu déployer mon immense talent pour la procrastination, teintée de justifications visant à me déculpabiliser
Vous avez clairement formulé votre objectif professionnel, il est énoncé positivement. Vous avez ressenti de l’enthousiasme à la simple évocation de ce nouveau job. Maintenant, il s’agit de vérifier un point important. 2è pas : en quoi ce job est-il
Comme promis, voici la transcription – non littérale, sinon ce serait pas drôle – de mes trois dernières vidéos. J’aime bien partir dans des envolées lyriques, comme vous l’aurez remarqué dans mes premiers articles, mais il est parfois réconfortant
Si vous n’êtes pas sûr que vous voulez faire une seule et même chose pour le reste de votre vie, vous n’êtes pas seul. Dans ce discours illuminant, l’écrivain et artiste Emilie Wapnick décrit le type de personnes qu’elle appelle
Je veux un job parfait pour moi… 3è et dernière partie ! Aujourd’hui : on se questionne sur les obstacles qui nous empêchent de l’atteindre, on se met en condition pour le décrocher, et enfin on AGIT ! Demain lundi, qu’allez-vous
Je veux un job parfait pour moi… la suite ! Aujourd’hui : ce job parfait, est-il parfait pour MOI ? Quand on a énuméré les critères qui constituent notre job idéal, demandons-nous en quoi ils sont vraiment importants pour nous.
Utilisez la Bonne Formulation d’Objectifs, issue de la PNL, pour atteindre votre objectif professionnel. Première étape : que voulez-vous VRAIMENT ?
Ce soir je dînais avec une amie très chère. Après avoir échangé sur nos vies respectives, quarantenaires aux prises avec les difficultés inhérentes aux multiples rôles que nous devons endosser en tant que femmes, mères, et compagnes, nous en sommes nécessairement
Nous sommes dimanche soir, c’est la fin d’un week-end d’automne… La lumière commence à manquer et l’envie me prend de vous écrire, comme à un ami, avec qui j’ai envie de partager, dans la douceur de mon chez-moi qui augure d’un