J’ai fait mon mémoire sur le sujet il y a plus de 25 ans (je vous en parlais déjà ici).
A l’époque, le burnout était limité aux professions d’aide, il existait encore des sphères de vie safe et des ressources faciles à actionner.
Dans un contexte économique clair, le tableau clinique était clair, on pouvait mieux circonscrire et le prévenir.
… et jusqu’à présent, le tissu social s’est disloqué.
La santé mentale s’est détériorée…
On réalise notre grand besoin de lien, de consommer moins et de prendre soin de nous, de nos émotions et de notre système nerveux
Le besoin de vérité, de simplicité et de joie est plus que présent. Et on ne souhaite plus payer le prix fort pour être en “sécurité”
On s’ouvre à de nouveau chemin pour recouvrer la santé mentale, physique, émotionnelle et énergétique !
On s’éveille !
Je vous partage ci-dessous deux magnifiques textes.
L’un d’Armelle Six que je nommerai “Toute notre société est basée sur l’effort“
L’autre de Bruno Humbeeck qui relève que “Mal nommer les choses c’est ajouter à la violence du monde“
A bientôt,
Virginie