Vous avez clairement formulé votre objectif professionnel, il est énoncé positivement. Vous avez ressenti de l’enthousiasme à la simple évocation de ce nouveau job. Maintenant, il s’agit de vérifier un point important.
2è pas : en quoi ce job est-il important pour MOI ?
Cet enthousiasme que vous ressentez, est-il bien le vôtre ? Ou bien, êtes-vous inconsciemment heureux de satisfaire les attentes des autres ?
En définitive, très peu de choix dans nos vies sont 100% personnels. Vous rendez-vous compte de la somme d’informations conscientes, ou inconscientes, reçues depuis notre naissance ? Questionnez-vous brièvement. Que seriez-vous devenu, si vous étiez né à une autre époque, à un autre endroit, dans des conditions différentes ? Parvenez-vous à vous projeter dans cette autre réalité ? C’est extrêmement difficile… Nous sommes conditionnés par notre éducation, les valeurs véhiculées au sein de notre entourage familial, amical, professionnel, mais aussi par les messages induits par la société dans laquelle nous vivons.
C’est comme si nous étions recouverts de couches et de couches de vêtements trop grands, trop petits, mités, vieux, de mauvaise qualité, mais ouf ! Des vêtements, quoi, qui permettent de ne pas déambuler tout nus.
Mieux vaut se couvrir, quitte à se déguiser, plutôt que de se montrer dans toute son authenticité. Sinon on risquerait de choquer, d’être hors sujet, d’être rejeté, de ne plus être aimé. Quand on cherche un job parfait pour soi, une étape fondamentale est de se demander qui on est vraiment, derrière tous ces masques, et d’apprendre à aimer ce qu’on met à nu. Je pense d’ailleurs que le burnout est une invitation à (re)devenir soi.
C’est un processus lent, long, la reconquête de ses pleins pouvoirs ! Se débarrasser des fausses croyances, des croyances limitantes, rendre aux autres ce qui leur appartient, est un sacré défi.
Voici quelques exemples :
Parfois, les choses ne sont pas exprimées aussi clairement.. c’est plus insidieux. Mais on sent quand l’entourage est réprobateur. Et souvent, aussitôt, on culpabilise, ou notre peur de l’échec est renforcée. Mais une fois passée cette étape, l’horizon s’élargit à l’infini. Vous pouvez alors mettre toute votre énergie dans l’élaboration concrète de votre projet.
En résumé, pour cette deuxième étape, je vous invite à :
A bientôt pour les étapes suivantes !