Mon Koh-Lanta personnel
Après t’avoir parlé de ma vérité sur l’entrepreneuriat au féminin, je te raconte ici mon parcours Koh-Lanta d’entrepreneuse.
Ceci pour que tu réalises à quel point tu peux déployer ton activité, à condition :
- que tu persévères,
- que tu traverses tes doutes
- que tu tires des enseignements de tes erreurs
- et que tu saisisses les opportunités qui se présentent en écoutant ton intuition.
La phase 1, la naïveté (Koh-Lanta: quand tu t’inscris à l’émission)
Il y a plus de 10 ans déjà, je suis de plus en plus frustrée en tant que salariée.
Je m’éclate surtout quand je transmets des clés d’évolution, des conseils aux candidats qui n’ont pas le profil pour être embauchés, lors des entretiens de recrutement. J’aime aussi quand j’impacte mes groupes de formation, quand je vois que la personne devant moi, a compris et intégré subtilement une nouvelle façon de voir les choses. Quand elle change sa façon de se voir elle-même, et que cela pourrait bien changer toute sa vie. Je pourrais faire cela toute la journée tellement ça m’énergise.
Quelle satisfaction cela doit être, de se sentir utile et d’être libre de son temps, sans boss ni structure contraignante ! Je me lance comme indépendante complémentaire. Je cogite à fond sur le nom de ma boîte (elle s’appelait “Impresaria”, quand j’y pense, ça sonne encore assez juste aujourd’hui ! Chacun est un peu créateur de sa vie… ), j’achète assez cher un beau logo et j’imprime des tonnes de cartes de visite. Pas un client.
Avec le recul, je réalise que j’ai aimé cette phase, mais je n’étais pas assez engagée dans l’action concrète, au-delà de la créativité et de la fierté d’avoir lancé mon projet. Il manquait le carburant pour continuer pour de vrai.
La phase 2, l’adaptation (Koh-Lanta: les mois d’efforts en conditions réelles)
À cet égard, il est difficile de résumer 10 ans de vie professionnelle en quelques phrases. Les 5 premières années, j’ai eu quelques clients par ci, par là. Je restais dans le confort inconfortable de ma prison dorée, au boulot et dans ma vie privée.
Il a fallu que je suffoque, pour que j’aie le courage de rompre à tout niveau. Pour que je passe enfin à l’action. J’ai pris tous les risques en même temps… Je ne le recommande pas à tout le monde, mais ça m’a convenu. J’ai coutume de dire “saute, le filet apparaîtra”… Testé et approuvé.
Alors un petit bas de laine m’a permis de créer mon premier site web et dans la foulée, j’ai répondu à un appel à projet avec une institution publique, contrat qui a été renouvelé plusieurs fois. J’ai vécu quelques années satisfaisantes et fluides, mais je suis progressivement ennuyée, j’étais de plus en plus frustrée (le pire qui puisse arriver à un générateur, cfr le Human Design) et me suis retrouvée à nouveau enfermée par les obligations de mon client principal. J’ai dû à nouveau me réinventer.
Grâce à l’entrepreneuriat, on se découvre toujours plus capable, et en conséquence, on repousse sans cesse nos limites: notre horizon de possibles s’élargit à l’infini. Et c’est merveilleux de réaliser sa puissance d’impact sur le monde, tout en grandissant soi-même.
La phase 3, la solidité (Koh-Lanta: l’épreuve du poteau)
Je suis générateur donc, et ma stratégie dans la vie est de répondre à la vie. Quand quelque chose ne me convient plus, j’ai des ressources d’énergie énormes pour créer le changement, si je suis appelée par d’autres projets.
A un certain moment, épuisée, j’ai commencé à questionner ma façon de travailler et à chercher l’inspiration ailleurs. Je sentais que je devais changer de modèle de business. J’ai beaucoup lu, et beaucoup réfléchi à mes besoins, à ma façon de fonctionner.
J’ai croisé la route de la formation enrichissante Succès Infini tm, j’ai écouté mon sacral (la guidance intérieure du générateur) et j’ai investi mes économies. Cette formation m’a permis de travailler sur mes propres croyances limitantes, et d’enrichir ma boîte à outils de coach, déjà bien remplie. Tout s’est enchaîné. J’ai créé mon programme signature de 14 semaines, j’ai changé mes horaires, mes tarifs, ma façon de travailler, j’ai remis du sens dans mon métier de coeur.
C’est quand j’ai intégré que mon activité devait s’adapter à qui j’étais devenue au fil des années, que tout s’est mis en place.
Les concurrents, dans mon Koh-Lanta d’entrepreneuse, ce ne sont pas les autres, ce sont mes doutes, mon sentiment d’illégitimité, mon syndrome de l’imposteur, ma peur du manque. Mon manque d’alignement.
Ce manque d’alignement fait partie de la vie, la frustration ne peut pas être éliminée, mais elle est un indicateur précieux que des ajustements doivent être faits.
Une entreprise, c’est comme la vie… On essaie, parfois on ose, parfois on a peur, on a des coups de génie et des coups durs, on travaille ses blessures et on grandit incroyablement.
Je t’accompagne dans ton Koh-lanta d’entrepreneuse
Si tu doutes de tes capacités à te lancer ou à passer au prochain niveau dans ton entreprise, je serais heureuse de t’accompagner.
Mon expertise en coaching, mon vécu d’entrepreneuse, mon intuition fine, ma capacité à te faire faire des “shifts” énergétiques et la logique du Human Design sont tous les ingrédients qui composent mon approche. Dans le respect de qui tu es, de là où tu te trouves.
Je te prépare un nouveau format d’accompagnement. Il démarre en format test ce 23 avril (envoie-moi un mail rapidement), sinon laisse-moi tes coordonnées pour l’édition suivante.
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