J’ai fait appel à Virginie dans une période difficile de ma vie marquée par un deuil, une expatriation complexe et des problèmes de santé qui avaient mis à mal mon activité encore balbutiante d’indépendante.
Je me sentais confuse, fragile et fatiguée. J’avais rencontré Virginie un an auparavant et j’ai tout de suite pensé à elle, même à 5000 km de distance.
J’avais besoin de faire le point, de me recentrer, de comprendre où je voulais aller et de reprendre confiance en moi.
Son accompagnement m’a apporté en quelques mois de grands bénéfices : de la clarté, une meilleure capacité à accepter mes limites et travailler à partir de mes besoins, une meilleure compréhension de mes fonctionnements et de mes cycles y compris dans le deuil, une meilleure conscience de mes forces, une vision positive de mes multi-facettes et la prise de conscience d’un fil rouge, des blocages qui sautent, une envie décuplée d’offrir mon regard, mes forces personnelles et mes projets au monde, une audace peu à peu retrouvée, une capacité neuve à penser en termes d’action…
Dans tout ce que nos séances m’ont apporté, les trois choses les plus neuves et bénéfiques pour moi aujourd’hui sont celles-ci :
Virginie offre une écoute bienveillante et respectueuse de l’endroit où on est, mais n’hésite pas à proposer, à secouer, à remuer, à aller nous chercher dans un mélange de douceur et d’exigence.
Authentique et entière, sa pratique est en évolution régulière et elle n’est jamais à court de nouvelles idées pour nous débloquer. Elle a une compréhension fine des fonctionnements naturels des hypersensibles et autres zèbres, je me sens comprise à ce niveau sans jamais être enfermée dans une étiquette.
Elle est aussi particulièrement douée pour créer des liens entre les personnes et les mettre en réseaux, ce qui est très précieux quand on est sujet à “la solitude de l’entrepreneur”.
J’ajoute pour avoir testé les deux, que ses séances skype sont aussi investies, connectées et efficaces que celles en présentiel (je ne suis pourtant pas très à l’aise à la base avec les écrans).”
Florence Plissart